Élodie Parcours D’Une Ado En Chaleur - Partie 28

Eric, 25 ans, informaticien, et en couple depuis deux ans n’en revient pas d’avoir accepté de suivre sa copine, Yenefer, dans cette aventure échangiste. Et la voir se faire baiser par ces deux mecs dans l’ambiance tellement sèche de ce sauna libertin le fait sortir de ses gonds. Sans compter qu’aucune des femmes des quadra s’enfilant sa meuf ne s’intéressent à lui.



« Quelle bande de gouines ! » Se dit le jeune homme qui repère soudain la petite brunette à moitié à poil sous sa micro serviette blanche.



« Et si …. » La pensée de suivre la jeune fille dans les douches communes le fait bander comme un taureau et lorsqu’il la voit seule, face au mur du fond à se caresser le corps langoureusement, il s’approche d’elle en silence avant de plaquer ses mains sur les gros seins de la gamine avant de lui souffler à l’oreille :



-Eh bien quelle jolie surprise ! Il ne met pas longtemps avant de glisser sa main droite entre les cuisses ouvertes de la belle brune.



Sa paume droite plaquée contre le jeune pubis imberbe, il immisce ses doigts entre les lèvres gourmandes et humides de la belle, tout en continuant de lui masser le sein gauche, lui dévorant la nuque de baisers gourmands.



***



Élodie a le souffle coupé, les doigts entrent en elle comme dans du beurre et déclenche en elle une vague de chaleur sensuelle qui se propage dans tout son corps, couvrant sa peau d’albâtre d’une chair de poule excitante.



Ses seins pointent instantanément sous la caresse de ce parfait inconnu : « Putain ! HUN mais c’est pas moi ça ? » Elle a à peine le temps de formuler cette pensée que son cerveau fond sous l’afflux instantané d’hormones de plaisir.



Le regard vague, les yeux mi-clos, elle se cambre de plaisir contre le corps noueux et musclé qui se colle contre son dos dénudé :



-Oh oui putain, c’est bon ! Vas y !



Elle plaque sa main gauche derrière la nuque de son inconnu et accompagne la main qui lui fait tant de bien entre les cuisses.

L’eau bouillante ruisselant sur sa peau tendue la transporte dans une torpeur de plaisir hypnotique.



-Tu aimes ça hein ? Salope !



La gamine sent la tension sexuelle de son nouvel amant se propager à travers les doigts qui lui fouillent adroitement la vulve en chaleur.



-Oui j’aime ça ! Continue ….. HUN ! Elle se mord la lèvre inférieure pour retenir un cri de plaisir aussi soudain que violent.



Élodie crispe ses doigts dans la nuque de l’inconnu qui plaque son bassin puissant contre les fesses charnues de la gamine. La queue tendue et dure comme le bois se plaque contre l’entrejambe humide et ouverte de la belle brune.



***



Eric est enivré par les effluves parfumées que dégage la gamine aux gros seins et au magnifique petit cul qui se colle à lui. Les frissons de la jeune brunette l’enivrent et la pression des doigts fins qui plantent leurs ongles dans la peau fine de sa nuque exacerbent la tension sexuelle qui s’anime en lui.



Sa salope de chérie peut se faire démonter en toute liberté par les deux gros porcs du sauna adjacent, lui vient de se dégoter une bonne petite chienne à la chatte toute serrée et déjà gorgée de mouille.



« Putain et cette paire de einsses ! » Il malaxe doucement le gros nichons ferme et mou à la fois. Il se régale de la sentir frémir sous ses caresses, le téton durcit naturellement sous ses doigts, et la douceur de cette peau perlée de chair de poule le grise violemment.



-Tu aimes ça hein salope ?



La tension de savoir sa chienne de compagne aux mains des pervers se fait sentir au milieu de ses reins musclés. Il tend ses fesses, en serrant les dents et plaque sa queue gorgée de sang entre les fesses douces de la gamine.



-Oui j’aime ça ! Continue ….. HUN !



« La chienne putain ! Elle aime ça ! » se dit le jeune homme lorsque l’adolescente se cambre contre son torse musclé.
Il meurt d’envie de la casser en deux pour l’embrocher et la limer comme un pute, mais il se retient, il veut profiter de ce joli cadeau.



Il tend son bassin puissant et fait glisser sa queue entre les cuisses toutes douces de la gamine.



***



Lorsqu’elle sent la tête du pénis bandé glisser le long de sa fente ouverte Élodie ne peut réprimer un frémissement d’excitation qui réveille l’étincelle de désir charnel qui sommeillait en elle. La chaleur dormante au creux de son ventre se transforme instantanément en un brasier de plaisir irradiant de la pointe de son clitoris bandé et gorgé de sang jusqu’à la pointe tendue de ses seins gourmands.



-Oooooh ouiiii ! La gamine gémit de plaisir et ondule sensuellement sur cette longue tige de chair tendue.



L’adolescente n’est plus qu’une petite chatte en chaleur en proie à une libido exacerbée. Elle n’a plus qu’une envie, plus qu’un besoin ; se faire embrocher par ce beau specimen masculin.



La main d’Eric remonte sur le ventre doux perlé de chair de poule, glisse sur la hanche qui ondule sensuellement sous la caresse du jeune homme. Simultanément, il libère le sein rendu hyper sensible par les différents attouchements de ces derniers jours. Élodie le sent remonter sur sa gorge qu’il encercle de sa grande main de pianiste.



Le jeune mâle appuie doucement mais fermement sur les reins déjà cambrés de la jeune fille qui se plie sans résistance. L’adolescente se laisse guider et tend son joli cul potelé afin que sa chatte éclose et aux abois s’aligne avec la tige de chair tendue entre ses cuisses lissent.



L’eau chaude ajoute une note très sensuelle à la douce et ferme caresse du jeune homme sur son corps en manque de plaisir charnel. L’adolescente débranche sa raison pour se laisser inonder par les caresses simultanées de l’eau ruisselante et de son bel amant au corps apollon.




***



Lorsque sa vulve chaude et glissante englobe la tête gonflée du sexe rigide de son amant, Élodie se convulse de plaisir. Ses chairs en chaleur s’écartent autour de ce sexe inconnu qui la pénètre doucement, si doucement, la laissant se délecter de cette lente perte de contrôle de ses sens aux abois.



La moindre sensation de plaisir se retrouve décuplée par le souffle chaud de son amant dans son cou. Le jeune homme surplombe la gamine de toute sa hauteur et laisse ses mains puissantes et douces vagabonder le long de la douce peau de pêche parcourue de frissons de plaisir intense.



Le gland gonflé de sang et de désir pour cette magnifique brunette écarte les chairs en extase et la pénètre profondément et toute en douceur. Lorsque le jeune homme sent le sexe de l’adolescente englober parfaitement sa queue enfoncée de moitié, il lui att les seins libres sous la poitrine cambrée, et serrant les dents pour ne pas jouir prématurément dans l’extase des douces chairs chaudes autour de son pieu, il l’embroche d’un puissant coup de reins.



-Oh OUIIIIIIII ….. Putain, vas y ! Baise moi bien profond !



***



-Hum t’es bonne ma salope !



La douceur des muqueuses fondantes autour de sa queue est tout simplement divine, le jeune homme meurt d’envie de relâcher la pression et remplir ce ventre bouillant de sa semence épaisse et gluante.



Planté profondément dans les entrailles en chaleur de la jeune fille, Eric, les dents serrées, bloque son éjaculation en contractant son périnée.



***



Élodie, en pleine extase se retient en plantant ses mains fines contre le mur carrelé en face d’elle. La main dans son dos maintient la cambrure de ses reins en extension alors que des doigts agiles malaxent et caressent avec un douce volupté sa poitrine lâche.




La queue en elle se met à gonfler entre ses muqueuses gonflées et engluées de mouille chaude et dégoulinant le long de ses jambes galbées et se mélangeant avec l’eau ruisselante de la douche.



-HUN Oh oui ! Vas y prend moi à fond ! Salaud !

Les dents serrées, Eric se retire lentement de la chatte en chaleur et stoppe la progression lorsqu’il sent la vulve se resserrer à la base de son gland tuméfié.



-HAN ! Prends ça petite pute !



CLAC …. CLAC …. CLAC ….



Élodie se fait embrocher comme une vulgaire traînée, la bite qui se retire lentement pour la pénétrer violemment la porte au nirvana du plaisir charnel.



***



La jeune fille est complètement submergée par les vagues de plaisir qui déferlent et envahissent toutes les fibres de son corps.



L’eau ruisselante qui glisse sur sa peau ultra sensibilisée par les caresses langoureuses de cet amant éphémère, les douces caresses des doigts qui massent ses muscles détendus et relâchés, les allers et retour de cette queue qui écarte en douceur vigoureuse ses muqueuses gorgées de sang et de plaisir, Élodie n’en peut plus, elle gémit d’une extase non retenue le plaisir qui l’envahit.



Le bassin puissant et musclé claque en continu contre ses fesses potelées, ses seins oscillent librement sous sa poitrine, le mouvement de balancier l’excite un maximum. Eric maintient l’appui de sa main dans le creux des reins cambrés de la gamine, la main gauche encerclant sa gorge élongée.



Il att son poignet droit et le bloque en clé de bras accentuant un peu plus la cambrure de ses reins aux abois. Suspendue dans la poigne puissante de son amant, Élodie caresse son sein gauche et joue avec son mamelon bandé qu’elle étire et tortille entre son pouce et son index.



Cette double douleur douce et sensuelle décuple les sensations de plaisir qu’elle ressent à se faire prendre en levrette par cet amant magnifique sous la chaleur de l’eau ruisselant sur son corps excité.



Le grand baraqué sert les fesses, gonflant instantanément son gland sous le nouvel afflux de sang frais. Le grossissement soudain de la queue qui lui donne déjà beaucoup de plaisir la fait jouir une première fois. La gamine gémit de plaisir, son bassin allant même à la rencontre du sexe qui lui transperce la vulve.



-Oh oui putain ! Vas y défonce moi ! AH AH Aaaaaaahhhhhh ….



La belle convulse sous les coups de queue et gicle une première vague de mouille se mélangeant à l’eau éclaboussant les abdos bandés du jeune homme.



***



La pression se relâche soudain et Eric attire la jeune fille à lui, collant le dos doux de sa maîtresse contre son torse puissant.



Élodie s’extasie, les nœuds des muscles puissants s’incrustent dans ses chairs, la main sur son coup maintient une douce pression de soumission à ce mâle puissant et doux à la fois. Il la plaque au mur frais en face d’elle, écrasant sa grosse poitrine contre la faïence couleur terre.



La bite en elle lui lime l’extérieur de la paroi vaginale, le bassin de son amant forçant langoureusement ses fesses charnues à lui dévoiler sa fente culière. L’os du bassin tape avec vigueur sa corolle anale diffusant une douce sensation d’excitation dans son cul de petite salope.



Les seins libérés, elle glisse sa main gauche sur la fesse musclée d’Eric et incline son visage vers l’arrière pour lui susurrer :



-Baise moi, encule moi comme la dernière des traînées !



Dans un soupir de chienne en chaleur, la jeune fille lui griffe violemment la fesse. Il grogne entre ses dents, et, tout en maintenant la clé de bras et en resserrant sensiblement la poigne autour du cou fin de la jeune salope, il se retire de la vulve dégoulinante de mouille gluante pour placer son gros gland lubrifié contre la pastille striée et toute serrée de la jeune salope.



Élodie pousse instantanément comme si elle voulait chier, décontractant instantanément ses muqueuses anales laissant libre accès au gland gonflé. Elle ondule contre le bassin de son baiseur, des mouvements de plus en plus grands et langoureux qui permettent rapidement au gland huileux de forcer le passage serré de l’étroite gaine anale.



-Oui vas y prends moi en profondeur ! Encule moi comme une bête sauvage !



Les deux amants font simultanément un mouvement inverse. Élodie se plante sur le vît de chair tendu, et Eric pousse, les dents serrées pour ne pas jouir, s’enfonçant inexorablement dans le petit trou offert et serré de la jeune salope.



Le gland tuméfié et gonflé de sang écarte les muqueuses anales de la gamine en extase, il se retire à mi chemin et repart à l’assaut de la gamine qui gémit de plaisir entre ses mains. Il écrase ses doigts sur les muscles du cou de sa belle et souffle à son oreille :



-Tu la veux ma queue, hein salope ?

-Oui vas y putain ! Baise moi ! Encule moi ! Fais de moi ta pute !



Il la plaque de tout son poids contre le mur ruisselant d’eau chaude et accentue un peu plus la clé de bras, la sensation de douleur faisant contraste avec l’extase de la sodomie puissante et profonde fait de nouveau jouir la gamine qui explose de cyprine entre ses cuisses.



Le jeune homme sent la gaine anale se contracter en spasmes sur sa bite tendue, dans un effort surhumain, il parvient à contenir sa propre extase et encule la jeune fille avec force et passion.



Mais la pression est trop forte, la tension de savoir sa meuf prise en double par deux gros pervers et la volupté de cette belle salope ont raison de sa volonté. Il se lâche et encule la jeune fille dans un dernier assaut puisant et langoureux.



Élodie n’en revient pas, la soudaine accélération des mouvements en profondeur dans son cul convulsé déclenche un troisième orgasme qui explose en un feu d’artifice magistral qui lui empli le ventre lorsque le jeune homme se répand en elle, le gland convulsant dans ses entrailles lorsque les giclées de sperme chaud et gluant se répandent en elle.



Exténués, essoufflés, les deux amants se crispent simultanément dans un orgasme commun, leurs corps coulissant peau sur peau, luisant d’eau claire et de sueur. Doucement, avec volupté, Eric libère la jeune fille qui, les yeux fermés à apprécier son extase nouvelle, reprend ses esprits en laissant le jeune homme sortir de son cul, puis de la douche, sans même lui jeter un coup d’œil.



Éreintée, Élodie s’écroule sous la douche, un doigt gourmand entre les lèvres, elle glisse un doigt entre ses fesses pour récupérer le sperme dégoulinant et se caresser la pastille. En appui, le dos au mur, elle écarte les cuisses et se caresse gracieusement la vulve éclose de plaisir. Elle libère la pression sexuelle relâchant son corps un doigt couvert de foutre planté dans la chatte et l’autre main jouant subtilement avec ses tétons excités.



Des bruits dans les couloirs la ramenant à la réalité, elle se précipite pour se doucher et filer dans le vestiaire pour se rhabiller et commander un Uber afin de rentrer chez elle au plus vite.



***



En sortant du bâtiment, Élodie vérifie sur son smartphone l’arrivée de son chauffeur ; « Bon au moins il n’est pas loin » La voiture est sur le point d’entrée dans la rue du hammam. La jeune fille s’approche du bord du trottoir afin de signaler sa présence au Uber lorsque son sang se glace dans ses veines.



Une berline identique à celle du gros moustachu qui l’a si violemment enculée à son retour de Stains fait son apparition au coin de la rue. « Putain je suis pas en mesure d’encaisser les coups de ce gros porc », instinctivement, la jeune fille se recule.



Comme dans un ralenti, elle observe le véhicule s’approcher. Sa vision se trouble et elle a l’impression de voir les grosses moustaches rousses se dessiner à travers les vitres tintées. Le sentiment de se faire perforer le cul par cette grosse queue puissante se réveille et des fourmis lui chatouillent l’anus.



Le temps se suspend soudain autour de l’adolescente dont le cœur s’est comme figé dans sa poitrine oppressée. Incapable de bouger le moindre muscle, Élodie ne peut qu’observer , immobile, la berline aux vitres teintées passer devant elle sans même ralentir.



Lorsqu’elle reprend ses esprits, le temps reprend son cours normal et la belle brunette sent des picotements parcourir tout son corps. Le relâchement soudain de ses muscles détend ses sphincters et le sperme cumulé dans ses orifices commence à suinter le long de ses cuisses.



C’est à ce moment qu’une vieille Logan se gare devant elle. La vitre avant s’ouvre lentement sur un papy asiatique qui l’invite à monter sur la banquette arrière. Un drôle de mélange de sentiments situés à mi chemin de la honte et de l’excitation la submerge lorsqu’elle parvient enfin à déplacer ses jambes flageolantes.



« Mais qu’est-ce qui m’arrive putain ? » Est-elle soulagée ou déçue que ce ne soit pas ce gros porc de moustachu ? Élodie est incapable de se décider et s’est bien ce qui l’inquiète. Assise seule sur la banquette couverte d’un vieux tissu délavé, elle sent des spasmes secouer son anus encore en chaleur.



Perdue dans ses pensées, le cerveau hanté par un irrésistible besoin de soulager la tension sexuelle qui gonfle en elle, l’adolescente croise le regard du vieux dans le miroir. Sa bonhomie enjouée la rassure :



-Alors jeune fille ? Dure journée ?

-Hein ? Euh …. Comment ça ? Est ce qu’elle dégage une telle aura sexuelle que même le vieux peut deviner qu’elle n’est qu’une petite traînée en chaleur ?

-Oh non rien ! HA HA HA …. Vous me semblez juste un peu tendue ! Rit il l’air un peu gêner de s’immiscer dans la vie privée de la jeune fille.

-« OUF ! » Oui en effet ! Premier jour de boulot et tout !

-Bon établissement les bains ? S’enquiert le chauffeur ….

-Intéressant je dirais !



C’est ainsi que grâce aux vieux chauffeur qui est parvenu à détourner son attention de tous les pervers qui ont profité de son cul ces derniers jours, la jeune fille laisse vagabonder son esprit vers le jeune homme qui vient de lui procurer les trois plus beaux orgasmes de sa vie.



Une main sur la cuisse, le regard perdu dans le ciel à travers la fenêtre de la portière arrière, Élodie repense au jeune corps qui vient de lui procurer tant de plaisir sous la douche. Subtilement, imperceptiblement, la jeune fille laisse les doigts de sa main droite remonter le long de la peau douce et lisse de sa cuisse.



La mémoire de ce corps jeune et musclé contre son dos dénudé, les mains douces et puissantes malaxant ses chairs tendres et offertes, ce sexe tendu et gonflé qui coulisse entre ses chairs en chaleur. Élodie soupire et laisse ses doigts glisser entre ses cuisses, cachés par les pans de la mini jupe.



Les chairs tendres de sa vulve éclose au souvenir de son plaisir intense, la corolle de son petit trou frémissant sous l’explosion de plaisir et de sperme chaud, l’adolescente replonge instantanément dans les bras puissants du jeune homme. Le majeur droit de la belle titille



Le regard perdu dans ses souvenirs, et les doigts glissant subtilement sur les chairs tendres de sa vulve glissante de mouille et de sperme mélangés, Élodie se laisse aller à rêver au bel inconnu qui lui a procurer un plaisir intense, ses doigts glissent le long de sa fente éclose et s’immiscent en elle pour déclencher une légère vague de douceur érotique.



Se mordant légèrement la lèvre inférieure sous l’effet de la douce chaleur qui la gagne, elle ferme les yeux et profite de cet instant de plaisir malgré la proximité du vieil asiatique. Les paroles du chauffeur se perdent dans un brouillard sonore et elle réalise trop tard qu’ils sont arrivés.



Les doigts coulissant encore avec gourmandise entre les lèvres vaginales complètement trempées, Élodie est subitement ramenée sur terre par le vieux chauffeur qui freine au pied de son immeuble à la lourde porte de fer forgé. Il se retourne pour prévenir sa passagère qu’il surprend la main encore entre les cuisses.



-Mademoiselle ? Mademoiselle ? Vous …. arrivée !



La jeune fille rougit instantanément, prise la « main dans le sac » ! Par réflexe, elle retire sa main au doigts luisant de mouille, déclenchant un large sourire gourmand chez le vieux monsieur. À la fois gênée et tout même un peu excitée de s’être faite surprendre Élodie sort du véhicule sans demander son reste :



-Merci monsieur, et bonne journée !



« Et si …. ? » Coquine, la gamine utilise sa main aux doigts gluants pour refermer la portière et ne peut retenir un sourire malin en constatant la trace humide restée sur la poignée de la porte. « Putain mais je vais pas bien moi ! Qu’est-ce qui m’arrive ? »



C’est donc la tête envahie des souvenirs de plaisir récent mais confuse par ces nouvelles tendances s’immisçant en elle, qu’elle rentre chez ses parents. Une fois dans le vestibule de l’entrée, le cerveau et le corps fatigués, elle prend la direction de la salle de bain après s’être déchaussée et avoir récupéré son smartphone.



La gamine se fout à poil, dépose ses vêtements dans la machine à laver et traverse le salon nue comme un verre. « Et dire qu’il y a juste quelques jours, je n’aurais même pas imaginé être nue dans le salon ! » L’esprit confus et fatigué elle se dirige dans sa chambre et s’effondre sur son lit.



Incapable de manger, et sans même attendre le retour de ses parents, Élodie tire sa douce couette sur son corps dénudé, seule témoin des ébats de la jeune nymphomane. Elle a tout juste la force de vérifier les messages de ses amis et s’endort presque instantanément, le sourire aux lèvres, rassasiée et heureuse de s’être trompé de hammam.


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Ecrit en collaboration avec le génialissime auteur pervers HDS : Silveradd

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